29/9/25 : ILE MAURICE : PARC DE CASELA 6 ET FIN + LE BOEUF MOKA EN DANGER A LA REUNION

 

BONJOUR A TOUTES ET

 TOUS ET BIENVENUE

 SUR MON BLOG.

J'espère que mon article en ce dernier lundi de Septembre vous trouvera en forme ou en meilleure forme et pour cela recevez plein de bonnes ondes positives.

On termine ce jour la visite de ce PARC CASELA à MAURICE (6 et FIN) de mon voyage que j'ai fais fin septembre/début octobre 2024 où j'aurai d'autres endroits plus tard à vous montrer de l'île MAURICE mais dans mon prochain article on retournera à la Réunion.

Tout d'abord une VIDEO puis des photos

Lien vidéo

https://youtu.be/6N7mVpvgSJI

À la découverte des tortues géantes d'Aldabra

Explorez le monde fascinant des tortues géantes lors de votre visite à Casela !

 Originaire des Seychelles, la tortue d’Aldabra est la deuxième plus grande tortue terrestre au monde, et la seule des tortues géantes à avoir échappé à l’extinction dans l’océan Indien. Elle joue un rôle essentiel dans la régénération naturelle des forêts de l’île Maurice. Dans notre enclos, vous aurez la chance de rencontrer plusieurs résidents âgés de plus de 100 ans ! Plongez dans l’habitat naturel de ces immenses créatures et laissez-vous émerveiller par leur majesté.

Rencontrez Raphael, Rocky et George (désolée je ne connais pas le nom de ces deux belles tortues "en tête de mon article" et ci-dessous).

Les aldabras géants emblématiques de Casela

À propos de la tortue géante d’Aldabra :

Il s’agit de la plus grosse tortue terrestre au monde. Elle peut peser jusqu’à 300 kg pour les mâles et 160 kg pour les femelles, et atteindre une taille jusqu’à 125 centimètres.

Les tortues géantes d’Aldabra à Casela

Raphael, Rocky et George sont les tortues géantes de Casela. Tandis que Georges, marqué d’une encoche distinctive, est le centenaire du groupe, Rocky et Raphael sont, en quelque sorte, cousins ! Ils ont été élevés par une même famille avant d’être donnés à Casela. Celle-ci a longtemps cru que Raphael était un mâle… mais son arrivée à Casela a permis de lever le voile sur cette question, révélant qu’elle est en fait une femelle.

Un animal étonnant !

Contrairement aux idées reçues, le corps et la carapace des tortues ne font qu’un. Ainsi, bien qu’elle soit dure au toucher, leur carapace est rattachée à leur système nerveux. C’est pourquoi il ne faut surtout pas s’asseoir dessus ! Ces tortues géantes ont bien d’autres particularités : en plus de dépasser les cent ans de vie, elles peuvent absorber l’eau par les narines et le rectum – il s’agit d’une forme d’adaptation pour boire dans les flaques mêmes les plus petites. Essentiellement herbivores, elles ont un très long cou qui leur permet d’attraper des feuillages même en hauteur.

Ci-dessous le bus SAFARI, çà balance pas mal dedans et attention çà fait bobo au popotin LOL ! L'ayant fait une fois il y a quelques années, purée à la sortie de ce bus SAFARI j'avais les fesses en coton ih ih ih !!!

On quitte ce beau parc et nous voilà dans le couloir avant de quitter le parc CASELA

Ci-dessous j'aime beaucoup ce ravissant tableau de cette belle bête sauvage

AU REVOIR CASELA

FIN DU PARC CASELA A

MAURICE

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Ayant entendu à la télé aux infos locales le 1/8/25 parler du bœuf MOKA en danger à la Réunion, j'ai recherché l'article et le voici du site https://la1ere.franceinfo.fr/reunion/le-b-uf-moka-en-danger-une-race-pei-menacee-d-extinction-a-la-reunion-1609620.html

LE BOEUF MOKA EN

DANGER: 

Une race péi menacée d'extinction à La Réunion

Le bœuf moka en danger : une race péi menacée d'extinction à La Réunion

Dans la savane du Cap Lahoussaye, Raymond Drulé veille sur une trentaine de bœufs moka. Héritier d’un savoir-faire familial, il élève ses animaux comme un devoir sacré, mais cette race emblématique est menacée à La Réunion.

À La Réunion, le bœuf moka, race locale emblématique, est aujourd'hui en danger. Moins de 500 bêtes subsistent sur l'île. Des éleveurs comme Raymond Drulé se battent pour préserver ce patrimoine vivant, transmis de génération en génération.

Un héritage transmis de père en fils

C’est dans un paysage de savane classé espace remarquable du littoral que Raymond Drulé fait sortir chaque jour ses bœufs moka. Pour lui, ce n’est pas un simple élevage, c’est avant tout une histoire de famille.

Depuis l’âge 8 ans, mwin té suiv’ mon papa derrière partout. Zordui, ma reprends l’héritage mon papa. Mwin c’est un gardien du patrimoine, ça na pi ça. I fo ou na le souffle, i fo ou gayn marcher, i fo ou gayn dirige le zanimo. Et là-dans, ou na poin week-end, ou na poin rien là-dans, i fo tous les zours li manz’.

Raymond Drulé, éleveur

Le bœuf moka, une race au bord de l’extinction

Avec moins de 500 têtes recensées, la vache péï est en danger. Elle risque tout simplement de disparaître.

Pour Boris Astourne, co-fondateur de l’association Zanbrovat Dann Karodbwa, la survie de cette race passe par sa valorisation économique. "Le seul moyen pour préserver l’espèce est de ne plus commercialiser ni le lait, ni la viande", plaide-t-il.

Le bœuf moka en danger : une race péi menacée d'extinction à La Réunion

Une reconnaissance officielle, mais des protections incomplètes

Depuis 2016, un arrêté ministériel reconnaît le bœuf moka comme une race locale menacée d’abandon pour l’agriculture. Et pourtant, les moyens de protection tardent.

Né na zébu malgache, zébu mahorais et né na zébu La Réunion, donc le bœuf moka. Des analyses génétiques ont été faites et ont démontré que c’est un bœuf qui n’existe nulle part ailleurs.

Boris Astourne, co-fondateur de l’association Zanbrovat Dann Karodbwa

Le bœuf moka est rustique et résilient

Face aux changements climatiques et à l’augmentation du coût des intrants, le bœuf moka fait preuve d’une résilience remarquable. "C’est un animal adaptable. Avec ça, il se nourrit de peu, de ce qu'il y a", souligne Boris Astourne.

L’objectif est désormais d’anticiper son retour en force dans les exploitations réunionnaises.

Nous veux augmente le cheptel. Nous veux pas impacte la diversité génétique, nous veut avoir le maximum de diversité génétique pour augmenter un maximum le cheptel local et donc mondial, avant de faire ce travail sur la valorisation de la viande. Donc, nous anticipe. Nous travaille déjà pour cette valorisation que n’aura dans 5 à 8 ans.

Boris Astourne, co-fondateur de l’association Zanbrovat Dann Karodbwa

Un appel au Département

Aujourd’hui, les éleveurs et défenseurs de la race interpellent les autorités. Ils réclament une aide du Département pour la protection des races menacées, comme cela existe déjà au niveau national. À La Réunion, cette aide est toujours absente.

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FIN DE MON ARTICLE

DE CE JOUR

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Je vous remercie pour vos visites, pour vos gentils commentaires.

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Le voyage est sans nul doute l'une des expériences les plus enrichissantes qu'il nous est donné de vivre.

Nous commençons à vieillir quand nous remplaçons nos rêves par des regrets. 

Le plus beau voyage, c’est celui qu’on n’a pas encore fait.

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Excellente semaine à vous.

Portez-vous bien surtout !

Une envolée de gros bisous d'amitié de mon ti rocher.